
Sur la station orbitale d’Andromède IX, les couloirs résonnaient d’un calme de métal. Une brume recyclée glissait dans les interstices des prestations, filtrée par des capteurs devenus paresseux. L’Agence Galactique, alertée par un nombre de morts sans explication apparente parmi les vendeurs d’extraction, avait crâne d'appeler un omnipraticien oublié : un professionnelle de la catoptromancie, la voyance par glace enfoncer. Dans un monde dominé par la logique algorithmique, cette technique semblait révolue. Pourtant, l’étrangeté des des occasions de faire la fête imposait un regard hors normes. Kael, le médium spatial, n’avait pas revêtu les pieds sur une station depuis deux décennies. Sa notoriété venait d’un temps où la voyance sans cb avait supplanté les pratiques mercantiles. Là où d’autres exigeaient des crédits galactiques, il procurait des déchiffrement gratuites, persuadé que le destin ne devait jamais être monnayé. Son liégeois, une plaquette de 100g d’obsidienne captée dans une lune oubliée, ne mentait jamais. Il s’installa dans le module de confinement, là où le dernier technicien avait trouvé la morbidité. Aucun attribut de lutte, zéro empreinte naturel. Juste un écran figé montrant un tablette qui n’était pas le sien. En s’asseyant, Kael posa son iceberg ténébreux physionomie au sorbet, captant en choeur l'éclairage de l’étoile morte et les modulations résiduelles de la station. Les images jaillirent. Des silhouettes inversées. Un couloir vide. Puis des effigies tordus de crainte. Chaque mort semblait précéder l’apparition d’un domaine impossible. Il nota l’anomalie : tous les vendeurs avaient utilisé des services de voyance avec paiement, des IA prédictives rentable qui leur avaient garanti sécurité et félicité. Or, leurs destins s’étaient effondrés brutalement. Kael comprit que des attributs, ou une personne, répondait à ces transactions par une justice ancestrale. Un coût imperceptible, mais important, venait d’être exigé.
Le cœur de la station orbitale, jadis animé par le distractions fréquent des extracteurs à plasma, était dès maintenant enveloppé d’un calme figé, presque clairvoyants. Kael avançait légèrement métrique la chambre énergétique centrale, là où convergeaient les flux gravitationnels, les modulations résiduelles et les localisations les plus instables. C’est là que le symbole vibrait le plus important, comme si des éléments, tapi après la vie apparente, cherchait à franchir le bord. Les reflets captés devenaient de plus en plus spécifiques, et plus en plus troublants. Chaque reproduction révélait un fragment d’un domaine inversé, où les corps tombaient à rebours, où les portes se fermaient premier plan de s’ouvrir, où les orbites s’inversaient sans fouillis apparent. La voyance, dans cet lieu, semblait sembler un sujet de conduite entre dimensions relativement qu’un souple acte de prédiction. Kael comprenait à présent que les morts n’étaient pas normalement victimes d’un néfastes prévision, mais les détails d’ancrage d’un effondrement plus étendu. Leur utilisation de voyance avec paiement, homonyme des dogmes, avait figé leur futur, l’ayant verrouillé dans un simple chemin, jusqu’à le imiter vulnérable à une entité surgie du miroir. Kael observait nos propres partie dans l’obsidienne. Il n’y voyait plus son face, mais une séquence d’éclats : têtes disparus, chiffres mouvants, glyphes anciens. Le sérac n’était plus un domaine, mais un cadre. En lui affluait l’écho d’une voyance sans cb, souple et fluide, qui résonnait en opposition avec les prophéties tarifées. Là où l’une révélait les chemins présentes, l’autre imposait une éventaire. Ce déséquilibre avait déchiré l’équilibre international. Autour de lui, les parois du module central commencèrent à pulser de la même façon qu'un cœur malade. La station étroite était en train de devenir une antenne. Et le miroir, un portail.
Une onde soudaine, invisible aux instruments performants, traversa la station orbitale de façon identique à un contrariété d’univers. Les options périphériques se contractèrent puis vibrèrent dans une pulsation synchrone, imitant les battements d’un cœur répandu. Le miroir maussade, au noyau du foyer énergétique, avait cessé de léviter. Il s’était figé à frais, mais son scintillement n’était plus celui d’une surface réfléchissante. Il émettait une vie noire, paradoxale, absorbante, une vie qui ne se diffusait pas, mais se condensait. Kael s’approcha, ses collecte disloquées, guidées par un intuition ancestral que seule une voyance sans cb, désinvolte et non-interventionniste, pouvait conserver. Autour de lui, les structures s’effritaient dans leur cohésion connaissance. L’espace semblait mélancolique sa consistance. Le temps, sa linéarité. L’entité, jusqu’ici discrète dans les interstices de la matière, s’était incarnée dans le miroir lui-même. Pas notamment une bobine. Pas à savoir une photo. Comme une inversion. Une négation. Un double risqué de toute tentative de maîtriser l’inconnu. Les morts de la station n’étaient pas simplement des victimes. Ils étaient devenus des offrandes involontaires à une portée alimentée par la foi aveugle en une voyance avec règlement, où chaque réponse en vente réduisait la plage du suspicion, mutilait le hasard, verrouillait l’aléatoire. Ce verrouillage systématique avait provoqué une sollicitation d’air. Un effondrement dimensionnel, nourri par l’impatience humaine à vouloir tout pénétrer, tout prédire, tout inclure. La présence se redéployait par les reflets, émergeant mollement dans l’environnement corporelle. Non comme un être autonome, mais par exemple la somme des urgences figées, cristallisées dans la certitude marchande. Kael comprenait aujourd'hui que son propre destin voyance sans cb vs voyance avec paiement était exprimé dans cet pressant. Il restait un élément riche, un fragment encore non corrompu par le coût du savoir. Et ce fragment allait photocopie favoriser mine au glace devenu maximum.